Les derniers rayons de soleil éclairent la pâleur de leurs visages
leurs âmes errantes se cherchent
et les mots trébuchent sur leurs lèvres gourmandes
leurs âmes errantes se cherchent
et les mots trébuchent sur leurs lèvres gourmandes
La brume s’est posée sur leurs âmes
et les feuilles tombées ont recouvert leur trouble
La fraîcheur du soir dépose ses baisers
Sur leurs corps enfiévrés
Le chemin s’ouvre devant eux
Les branches des arbres ploient
Devant cette inéluctable attirance
Comment en sont-ils arrivés là ?
Quel chemin ont-ils empruntés ?
Nul ne le sait…
Seul peut-être le vent a la réponse
Seules peut-être les étoiles le devinent…