cadeau retrouvé

(…)Elle parla : une prudence exquise était sur ses lèvres. Lui fallut-il prendre sa part des danses, et de ces agréables jeux où se rit la fleur du royaume, ce fut comme si la plus décente des fées, en venant fouler notre sol, n’avait pu tout à fait désapprendre d’avoir des ailes. (…)

Mon amie Nane
Jean-Paul Toulet

Cadeau de Francis Parisot – 1982

Publicité
Cet article a été publié dans poèmes des autres. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s