Mais qu’en penser
Toujours pas de décodeur
Pourquoi continuer à éloigner
Les images couleur
Toujours pas de décodeur
Pourquoi continuer à éloigner
Les images couleur
Noir et blanc
Inoculé dans l’arc-en-ciel des pensées
Tenir encore combien de temps
Et pour quelle destinée
S’user à quoi bon la cervelle
Les yeux se délavent de trop chercher
Les doigts s’écartèlent
Sur un corps de papier mâché
La vie s’effiloche tout doucement
Le corps de la poupée se détricote
Ne pas avoir peur de jeter la pelote
Quand en sera venu le temps
QUAND EN SERA VENU LE TEMPS, et puis on ne sait pas quand c’est, ce temps, mais on n’est dupe de rien, une petite peur sur le coeur et les lèvres, une solitude à trop penser, quand les paumes pourtant font mal, que la laine de la pelote est trop rêche, que… une envie de pleurer libère et meurtrit tout à la fois. Se saisir du temps, vouloir le prendre en soi et protéger les heures… Un égoïsme qui ne ressemble à rien, à rien d’autre qu’à une p
Un égoïsme qui ne ressemble à rien, à rien d’autre qu’à une palpitation de la vie. Belle nuit à toi, Corinne. Anticyclone des açores sur tous les jours qui te viennent.
Le temps que l’on retient avec les fils de soie, de soi parce que tout ce qui compte revient. Et on ne peut s’empêcher d’y goûter une fois encore…Juste faire un peu le dos rond jusqu’à la prochaine bourrasque qui viendra on le sait…