Tiens, viens de faire un petit tour sur le blog "Véronique Groseil" et suis tombée sur les petites araignées…
Celles de Charles Baudelaire qui envahissent le crâne, qui bouchent tous les horizons, les soirs où il fait froid en dedans où demain n’a de consistance que dans la peur d’y être,
Ou bien sur la petite araignée d’Arthur Rimbaud qui nous court dans le cou, qui a le goût de son baiser à la racine de nos cheveux
Toujours vibrante lorsque je découvre ses créations.
Waou ! elle me parle, me dessine à l’âme des arabesques qui pourraient bien me faire danser…