Suis allée à la dédicace d’Anna Gavalda. Me suis fait mon cadeau, une jolie dédicace avec un petit dessin – un paquet cadeau. Le résumé au dos du livre a tout de suite ouvert mes tiroirs, des envies d’échappées, des bulles hors du temps où l’on emmène frères et sœurs de sang et de cœur…
Une échappée belle au Musée Rodin, un déjeuner, un café siroté à une terrasse parisienne. Anna dit "une vraie belle journée d’enfance volée à leur vie d’adulte".
On se quitte et à l’angle de la rue, dernier regard, baisers soufflés, le soleil scintille sur le mur…oui Brigitte, il scintille sur le mur !
jE VOUDRAIS QUE QUELQU UN M ATTENDE QUELQUE PART, j’ai beaucoup aimé ces nouvelles puis ensuite je trouve qu’elle n’a plus regagné la même force d’écriture. Tu me diras, Corinne. Ah le musée Rodin ! Boire un café dans ce jardin-là. Et puis je me souviens de la salle réservée à Camille Claudel. Une merveille ! Moi aussi, j’ai bu un café en terrasse aujourd’hui et fumé une cigarette, le soleil me faisait de l’oeil, alors tiens, je ne l’ai même pas snobé, le soleil, je le tenais dans mes mains, je pouvais croire…
j’avais aimé "ensemble c’est tout", touchée au cœur, tu sais mon cœur qui se serre si facilement par l’émotion…j’ai commencé la lecture et ai déjà souris à maintes reprises pour ce petit ton "acidulé" qui fait revenir à la surface les souvenirs d’enfance, les taquineries, les têtards séchés, les échappées le long de la rivière de Saussay, les "y a qu’un cheveu sur la tête à Mathieu"…quant au soleil il me taquine aussi et j’y crois aussi, très fortJe pense si souvent à toi, Brigitte…