statistiques

Plus de statistiques…Dans un monde où tout est examiné, calculé, comptabilisé ! Impossible à supporter de la part d’un espace internet. Voilà depuis trois jours, je ne sais plus si j’ai des visites ici. J’écris donc dans un brouillard à couper au couteau. Je ne sais plus si l’on vient  me lire même sans me laisser de traces. J’écris désormais dans le vide d’un espace. On ne peut écrire sans savoir que l’on est lu quelque part, à un moment donné. Savoir que quelqu’un tient notre fil, récupère dans sa poche les petits cailloux que l’on sème – comme dirait Brigitte.

Sans doute vais-je donc arrêter, je dois y réfléchir…

Cet article a été publié dans tout à trac, en vrac.... Ajoutez ce permalien à vos favoris.

6 commentaires pour statistiques

  1. Jean-Michel dit :

    Le commentaire entré est trop long. Raccourcissez-le !Voila ce que trouve à me dire cet engin si sympathique.. Je fais comment, je tronque, je résume, je décapite, je synthétise, je raccourci, …attention ce ciommentaire va être trop long !

  2. Jean-Michel dit :

    Partie 1 ;O)Je te lisJe te livre parfoisDes mots effilochésDes pensées de silenceD’apparentes sentencesComme si je savaisMais toujours je cherche Dans ces tranches de brouillardLa luciole attentive, la lumière complicePeut-être, à ta façon, m’aides tu à trouver.

  3. Jean-Michel dit :

    Partie 2 …S’écrire pour être lu, curieuse intimitéDe nos obscurités naissent des mots de lumièreEt l’écran qui divulgue aussi nous emprisonneFaut-il se libérer faut-il te dire reste, Faut-il te convaincre, faut-il recommencerToi aussi tu te cherches dans le regard des autres Faut-il se quitter ?Pour mieux se retrouver sur de nouvelles pagesNos pages essentielles, passées et à venir.A tout à l’heure… Corinne.

  4. brigitte dit :

    Non, non, continue ! ton blog est très bien très bien, incarné, avec ce supplément d’âme qui t’appartient.

  5. brigitte dit :

    Faire ! écrire ! toujours avec ta beauté de plume. Quand au doute ? Au sens ? Ne pas trop chercher à le débusquer toujours. Mais faire ! On est parfois à côté de la plaque. Mais qu’importe ! je te serre

  6. brigitte dit :

    Ben, ben ! Dans quel trou du soir es-tu tombée ?Baisers à toi

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